Les citoyens de La Tène se prononceront vraisemblablement sur une hausse d’impôts.
Les deux recours déposés contre la décision du Conseil général de faire passer le coefficient fiscal de 59 à 64% ont été admis par la Chancellerie d’Etat.
Le législatif avait non seulement accepté cette hausse d’impôts mais il l’avait accompagné d’une clause d’urgence, ce qui ne permettait pas de lancer un référendum.
Dans ses considérants, la Chancellerie relève que le peuple doit pouvoir se prononcer.
Le Conseil communal est invité à soumettre à un délai référendaire l’arrêté accepté par le Conseil général. /comm-sma