Bon bilan pour les cafétérias de l’UniNE

Le service de restauration proposé depuis février dans les différentes facultés semble trouver ...
Bon bilan pour les cafétérias de l’UniNE

Le service de restauration proposé depuis février dans les différentes facultés semble trouver son public. Eateco, le nouveau prestataire, veut élargir son offre.

Les cafétérias de l'Université de Neuchâtel ont repris du service en février. Les cafétérias de l'Université de Neuchâtel ont repris du service en février.

Un bilan positif des deux côtés. Après plusieurs années d’arrêt pendant la pandémie de Covid-19, les cafétérias de l’Université de Neuchâtel avaient été investies par un nouveau prestataire en février. Eateco, restaurant végan, qui n’utilise donc aucun produit d’origine animale, s’est installé dans trois cafétérias, respectivement dans la faculté des lettres, des sciences et de droit. Ouvert depuis 2017, l’établissement a récemment fermé sa salle à manger, située au-dessus de la gare, pour se concentrer pleinement sur le projet UniNE. Un service traiteur est toutefois encore proposé. Après presque six mois, le bilan est bon pour le prestataire « on a eu beaucoup de soutien par nos clients au campus et aussi par les anciens clients du restaurant. », souligne Arianna Bramati, co-fondatrice de Eateco.

Arianna Bramati : « Le personnel est super motivé. »

Bilan aligné du côté de l’université

Le secrétaire général de l’Université de Neuchâtel, Fabian Greub, se dit très satisfait de la collaboration avec ce nouveau prestataire. « J’ai l’impression que c’est quelque chose de plutôt apprécié, après nous n’avons pas mené d’enquête de satisfaction », relève le secrétaire général.


Une offre locale, mais qui a un coût

Au niveau des tarifs, les sandwichs tournent en général autour de 8 francs, là où les plats chauds du jour dépassent en général les 10 francs. Des tarifs adaptés à une cuisine locale et faite maison, mais qui ne rentrent pas forcément dans toutes les bourses étudiantes. Sur ce point, l’UniNE ne peut pas agir, explique Fabian Greub : « l’Université est financée par de l’argent public, elle ne va pas financer une offre de restauration. »

Fabian Greub : « La viande, ça ne coûte pas moins cher. »

La production de nourriture d’Eateco est répartie entre les cuisines du restaurant, à la gare, et la faculté de sciences, Unimail. /ecr


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