Lundi matin, la bourse suisse plongeait. L'indice vedette SMI a chuté de 6,73% avant de remonter, puis de redescendre. Dans ces phases d’extrême volatilité, la Banque cantonale neuchâteloise recommande d’attendre avant de vendre ses actions.
La Banque cantonale neuchâteloise. (Photo : archives).
Le vent de panique a pris de l’ampleur lundi sur les marchés mondiaux. Les bourses européennes ont dégringolé à la suite de la dernière offensive douanière de Donald Trump contre les partenaires commerciaux des États-Unis avant de remonter et de redescendre. Une journée folle, comme l’explique Victor Vogt, responsable de l’Asset Management à la Banque cantonale neuchâteloise. Le SMI a commencé la journée en baisse de plus de 7% avant de rebondir vers les 16h15 et de replonger en fin de journée à environ - 5%. « On peut clairement ressentir l’incertitude actuelle. »
Victor Vogt : « La volatilité aux États-Unis a même atteint un niveau plus vu depuis la crise du Covid. »
Face à l’effondrement de la bourse, certains clients contactent la BCN. L’établissement bancaire leur recommande de ne pas céder à la panique et d’attendre. « Le marché est actuellement en territoire de survente. » /sma
