Un centre de thérapies et bien-être s’ouvrira le 1er octobre dans l’ancien bâtiment communal des Geneveys-sur-Coffrane. Il sera occupé par sept thérapeutes de différentes disciplines, regroupés en association.
Le bâtiment communal des Geneveys-sur-Coffrane transformé en centre de soins. (Photo : libre de droits).
L’ancien hôtel communal des Geneveys-sur-Coffrane reprendra vie dès l’automne. Propriétaire du bâtiment, la Commune de Val-de-Ruz l’a fait rénover, pour le transformer en un centre de soins. Si le rez-de-chaussée permet d’accueillir des généralistes, un « Centre thérapies et bien-être » sera ouvert dès le 1er octobre au premier étage. Hypnothérapeute, massothérapeute, psychologue ou encore nutritionniste : sept praticiens en médecine complémentaire occuperont les locaux. Ils se sont regroupés en une association, locataire des locaux : six espaces de soins ont été aménagés. Cette nouvelle structure va aussi permettre de favoriser les échanges entre praticiens. « C’est un des éléments les plus importants, parce qu’il permet au client de passer éventuellement d’une thérapie à l’autre », détaille Giuseppina El Harti, psychologue et présidente de l’association. « Une personne qui souffre de surpoids peut s’adresser à la nutritionniste et dans un second temps, en cas de besoin, se tourner vers la psychologue pour tout ce qui touche à cet aspect, image ou estime de soi.»
Giuseppina El Harti : « Ce rapprochement est important. »
L’ouverture d’un centre dédié aux médecines complémentaires constitue une nouveauté à Val-de-Ruz. Elle répond à un besoin : « C’est un domaine très vaste et on peut proposer un nombre conséquent de soins et de thérapies, qui peuvent correspondre aux besoins de chacun », explique Géraldine Jaquier, hypnothérapeute et membre de l’association.
Géraldine Jaquier : « Il y a des approches différentes. »
Outre le centre de bien-être, un centre médical destiné à la médecine générale s’ouvrira au rez-de-chaussée de l’ancien bâtiment communal des Geneveys-sur-Coffrane. Cela devrait aussi être pour cet automne. À la tête du dicastère de la santé de Val-de-Ruz depuis lundi, Jean-Claude Brechbühler n’est pas encore en mesure d’apporter cette précision. /mne
