À 58 ans, Monique Erard vit sa première législature au sein du Grand Conseil neuchâtelois. L’élue verte veut défendre les causes environnementales, mais aussi l’accompagnement des enfants en écho à son métier d’enseignante
Une envie de transmettre le savoir à ses élèves. C’est ainsi que Monique Erard décrit son métier d’enseignante. La Chaux-de-Fonnière de 58 ans vit en parallèle sa première législature au Grand Conseil neuchâtelois sous la bannière des Verts. Avant 2021, elle était conseillère générale dans la Métropole horlogère. En dehors de son mandat politique, Monique Erard enseigne à des enfants âgés de 4 à 6 ans. Une tranche auprès de laquelle elle ne doit pas appliquer un programme précis. Elle aime également les sensibiliser à l’actualité : « ça peut déjà venir de l’actualité qu’ils amènent eux. Par exemple, s’ils ont accueilli un chaton dans leur foyer. Après, ce matin, on parle du loup, donc je suis persuadée que ce matin on en aurait parlé avec ceux qui habitent dans la zone », explique Monique Erard :
Sensibilisée très jeune à la politique, Monique Erard s’est rapidement tournée vers les Verts au moment de se lancer. « L’environnement est quelque chose qui me tient à cœur », assène-t-elle. Dans ce contexte, elle s’estime satisfaite de l’avancée du Plan Climat mais ne compte pas en rester là. « J’aimerais qu’on mette des moyens pour réaliser ces objectifs et qu’on voie des faits concrets », détaille Monique Erard. /dpi