L’élu libéral-radical et directeur général de la Fondation Les Perce-Neiges s’engage particulièrement dans le domaine de l’inclusion. Il est également féru de bandes dessinées, avec un « coup de folie » pour Tintin et l’affaire Tournesol
L’inclusion fait partie d’un de ses thèmes de prédilection. Vincent Martinez était l’invité des Coulisses du Château mardi dans La Matinale RTN. Le député libéral-radical au Grand Conseil neuchâtelois a fait ses débuts en politique dans les années 2000 au sein du Parti démocrate-chrétien. En 2018, alors qu’il siégeait au Conseil général de Val-de-Ruz, il a décidé de s’affilier au PLR. Vincent Martinez est un passionné de bandes dessinées, avec un « coup de folie » pour Tintin et l’affaire Tournesol qu’il détient en 19 langues. L’élu PLR est également directeur général de la Fondation Les Perce-Neiges. La Loi sur l’inclusion et l’accompagnement, adoptée par le Grand Conseil, lui tenait particulièrement à cœur. En revanche, ses règlements d’application le déçoivent pour l’instant. Cette loi va, selon lui « oublier les personnes les plus lourdement handicapées ». À son avis, l’inclusion commence à l’école, dans les crèches, dans le para et le préscolaire. Mais certaines personnes, avec un handicap très sévère, « ne peuvent pas être considérées comme des personnes pouvant être incluses, mais on doit leur donner la possibilité d’avoir une participation sociale. » L’inclusion prévue dans la loi oublie « de les accompagner dans leur bienêtre ».