Féminisation des statuts de l’uni : regard historique

Le féminin, un point c’est tout. C’est le parti pris de l’Université de Neuchâtel dans ses ...
Féminisation des statuts de l’uni : regard historique

Le féminin, un point c’est tout. C’est le parti pris de l’Université de Neuchâtel dans ses statuts adoptés le mois dernier. Les articles font mention de la rectrice, l’adjointe ou d’une professeure même si c’est un homme. Le professeur de littérature française médiévale Alain Corbellari était l'invité de Place publique

Alain Corbellari Alain Corbellari

L’Université de Neuchâtel a osé le féminin pour ses nouveaux statuts. Elle a banni le masculin pour qualifier les fonctions de ses membres. Désormais, le règlement ne parle plus que de rectrice, de doyenne ou encore de membres élues. La démarche adoptée par l’assemblée de l’Université est entrée en force le mois dernier et vise à susciter le débat et faire réfléchir autour de l’égalité des sexes et des genres.

Alain Corbellari, professeur de littérature française médiévale aux universités de Lausanne et Neuchâtel était l’invité de Gabriel de Weck dans Place publique mercredi soir.


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