Si le principal parti d’opposition a suspendu les rassemblements massifs, d’autres actions sont envisagées pour protester contre l’arrestation du maire d’Istanbul, principal opposant au président Recep Tayyip Erdogan.
La grogne ne faiblit pas en Turquie. Le principal parti d’opposition a toutefois décidé dans la semaine de suspendre ses rassemblements massifs devant la mairie d’Istanbul. Ces manifestations étaient organisées en soutien au maire de la mégalopole, Ekrem Imamoglu, qui a été arrêté. Les opposants au président Recep Tayyip Erdogan envisagent désormais d’autres formes de contestation, notamment un boycott des entreprises proches du pouvoir. L’éclairage d’Alexandre Rossé :