L’endométriose est un mal invisible qui touche une à deux femmes sur dix en âge de procréer, soit plus de 200 000 femmes dans notre pays. Le monde se pare alors de jaune pour symboliser cette maladie gynécologique douloureuse, chronique et, à ce jour, incurable, qui peut entraîner l’infertilité. Depuis 2016, l’association S-Endo, vivre avec l’endométriose agit pour faire entendre la voix des femmes touchées par cette maladie.
Des actions sont organisées en parallèle de cette journée mondiale. L’association S-Endo sera présente aux côtés de l’équipe de gynécologie du RHNe, dans le hall de l’hôpital Pourtalès à Neuchâtel, le 28 mars, de 10 h à 17 h. De plus, une 6ᵉ Endomarche aura lieu le 29 mars sur l’esplanade du Flon, à Lausanne, en présence du parrain de l’association, Christian Mukuna. Plusieurs édifices à Neuchâtel, La Chaux-de-Fonds et Le Locle seront également illuminés de jaune.
Pourquoi cette maladie n’est-elle pas encore prise au sérieux ? À quoi ressemble le quotidien d’une femme atteinte d’endométriose ? Quel rôle un homme peut-il jouer face à ces douleurs ? Sarah Markowicz, membre du comité de l’association S-Endo, y a répondu dans « La Matinale ».
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