Thomas Wroblevski milite toujours pour le vote blanc

Il l’avait annoncé le 27 septembre dernier, Thomas Wroblevski est dans la course à la succession ...
Thomas Wroblevski milite toujours pour le vote blanc

Il l’avait annoncé le 27 septembre dernier, Thomas Wroblevski est dans la course à la succession de Laurent Kurth. Il s’engage encore une fois pour la reconnaissance du vote blanc. S'il est élu, il démissionnera directement

Thomas Wroblevski se présente à l'élection complémentaire pour le Conseil d'État Thomas Wroblevski se présente à l'élection complémentaire pour le Conseil d'État

Thomas Wroblesvki participe à la course au Conseil d’État neuchâtelois. Il a annoncé sa candidature en vue de l’élection complémentaire au Conseil d’État le 27 septembre dernier. Il rejoint le socialiste Frédéric Mairy et de Jean-Luc Pieren, du Parti fédéraliste européen. Ce n’est pas la première fois qu’il se présente à une élection, sa première candidature date de 2014. Il a toujours milité pour la reconnaissance du vote blanc. S’il est élu, il s’engage à démissionner directement. Thomas Wroblesvki explique pourquoi il a décidé de présenter sa candidature : « Je veux donner un moyen aux gens de renvoyer tous les candidats, si aucun ne leur convient. Il faut que tout le monde puisse s’exprimer, il faut que cela ait un poids dans les urnes. »

Thomas Wroblesvski, candidat au Conseil d'État et militant pour le vote blanc

Un manque de moyens pour promouvoir ses idées


Même si ce n’est pas la première fois qu’il se présente, Thomas Wroblesvki n’a jamais récolté beaucoup de voix. Lors de la dernière élection pour le Conseil d’État en 2021, il avait récolté un peu moins de 1'000 bulletins. Selon lui, c’est principalement dû à un manque de moyens financiers. « Quand nous n’avons pas l’argent de faire des campagnes, surtout quand on doit transmettre des idées avant-gardistes, c’est compliqué. »

« Il faudrait que je puisse crier partout pourquoi je fais ça »

Il espère également pouvoir lancer un jour une initiative en faveur du vote blanc, un projet qu'il n'a pas encore pu réaliser faute de moyens.

L’élection complémentaire a lieu le 26 novembre. /gpr


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