Ouverture émotionnelle pour le FFFH

Le Festival du Film Français d’Helvétie a démarré jeudi soir devant un public fourni. Le film ...
Ouverture émotionnelle pour le FFFH

Le Festival du Film Français d’Helvétie a démarré jeudi soir devant un public fourni. Le film d’ouverture « Une belle course » a fait salle comble en présence de son réalisateur et producteur Christian Carion

Les spectateurs étaient nombreux à rester en fin de séance pour échanger avec le réalisateur Christian Carion. Les spectateurs étaient nombreux à rester en fin de séance pour échanger avec le réalisateur Christian Carion.

La foule a répondu présente jeudi soir pour le lancement du FFFH à Bienne. Le Festival du Film Français d’Hélvétie s’est ouvert au REX devant deux salles combles. Pour marquer le coup d’envoi de cette 18ème édition, les organisateurs ont choisi de braquer les projecteurs sur le film « Une belle course » de Christian Carion qui sortira la semaine prochaine sur grand écran. Cette comédie dramatique met en scène une vieille dame qui entreprend son dernier voyage vers une maison de retraite. L’œuvre signe le grand retour du binôme Line Renaud – Dany Boon. Le réalisateur Christian Carion était présent jeudi à Bienne pour présenter sa création. Il revient sur la genèse de son film « Une belle course », un projet né dans un train qui l’a ému dès la première lecture du scénario.

« Line Renaud m’a dit ‘ ça fait 15 ans que je vous attends ’ »

« C’est ma première fois à Bienne et je m’en souviendrai » a confié Christian Carion, touché par l’accueil du public. « C’est ma première fois à Bienne et je m’en souviendrai » a confié Christian Carion, touché par l’accueil du public.

« Je veux que les films parlent au cœur plus qu’à la tête »

« Une belle course » raconte de manière bouleversante les épreuves de vie de Madeleine – 92 ans – qui ouvre son cœur à son chauffeur de taxi, lui aussi quelque peu désabusé par les obstacles du quotidien.

Le réalisateur et producteur Christian Carion n'a pas manqué jeudi soir de sonder les émotions dans la salle biennoise pour évaluer l'accueil du public à son oeuvre.

« Les mouchoirs étaient prêts et ils ont été utilisés », a très bien résumé une spectactrice en fin de séance. Ces sentiments très forts étaient aussi présents sur le tournage au printemps 2021, explique Christian Carion.

Le FFFH se poursuit dans les cinémas de Bienne jusqu’à dimanche soir. Une cinquantaine de projections sont à l'affiche. /nme


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