« En parler. Trouver de l’aide. ». C’est sous ce slogan que l’Office fédéral de la santé publique organise jeudi une journée consacrée à la santé psychique. L’idée est de briser le tabou autour de cette thématique
« En parler. Trouver de l’aide » c’est le nom de la journée d’action en faveur de la santé psychique qui se déroule aujourd’hui en Suisse. La santé mentale est par ailleurs toujours plus présente dans les discussions depuis le début de la pandémie de Covid-19. Pour Christophe Amstutz, directeur de la Main tendue du Nord-Ouest, basée à Bienne. Le coronavirus a été un révélateur.
Le directeur de la Main tendue du Nord-Ouest qui couvre l’Arc jurassien nous a indiqué que les appels auprès du 143 ont augmenté dans la région. Les craintes liées à la pandémie sont bien sûr au cœur des discussions.
Rien d’étonnant, à en croire Florence Nater, directrice de la Coordination romande des associations d’actions pour la santé psychique, partenaire de cette journée.
Normal, donc, de se sentir un peu dépassé par la situation. Mais à partir de quand faut-il s’inquiéter et demander de l’aide ? On retrouve Florence Nater.
Une autre organisation tire la sonnette d’alarme c’est Stop Suicide qui craint pour la vie des habitants qui semblent plus fragilisés. Les explications du coordinateur pour la Romandie, Raphaël Thélin.
En Suisse romande, le site santepsy.ch regroupe les offres disponibles par canton et par population. /sbo