Pour Maia Dvoracek, le NUC est rapidement devenu « sa maison »

La diagonale américaine a posé son baluchon à la Riveraine au début de l’année et a pour mission ...
Pour Maia Dvoracek, le NUC est rapidement devenu « sa maison »

La diagonale américaine a posé son baluchon à la Riveraine au début de l’année et a pour mission de remplacer sa compatriote Gloria Mutiri. À l’aube de la rencontre contre Kanti Schaffhouse, elle se confie sur son premier mois en Suisse.

Maia Dvoracek a déjà pu se frotter au vollebyall helvétique, ici contre le VFM. (Photo : Jonathan Vallat) Maia Dvoracek a déjà pu se frotter au vollebyall helvétique, ici contre le VFM. (Photo : Jonathan Vallat)

Maia Dvoracek prend gentiment ses marques au NUC. Débarquée au début de l’année 2025, la diagonale américaine s’est vue chargée d’une lourde mission : remplacer sa compatriote Gloria Mutiri qui est blessée et indisponible jusqu’à la fin de la saison de Ligue A féminine de volleyball. Maia Dvoracek peut toutefois s’appuyer sur ses deux titres de meilleures scoreuses de l’Extraliga hongroise sous les couleurs du Mav Elöre pour appréhender sa première expérience en Suisse. « Ça a été très simple de rejoindre cette équipe. Les filles sont incroyables, le coaching staff est très avenant et m’aide beaucoup. Les fans sont incroyables, c’est devenu ma maison très rapidement », sourit l’athlète de 25 ans.

Maia Dvoracek : « J’étais très motivé à l’idée de jouer avec Lauren Bertolacci »

Des débuts en fanfare 

Son arrivée à Neuchâtel, Maia Dvoracek la doit aussi aux bons rapports que la coach du NUC Lauren Bertolacci entretient avec ses entraineurs universitaires. L’Américaine ne cache d’ailleurs pas qu’elle rêvait d’évoluer sous les ordres de Lauren Bertolacci. « Pour le moment, ça dépasse toutes mes attentes. J’ai été surprise à plusieurs reprises de voir à quel point le club est professionnel et comment il soutient ses joueuses. Je pense que ça m’aide à mieux gérer mon retour de blessure », raconte Maia Dvoracek.

« Revenir au jeu, c’était tout ce que je voulais ! »

Une blessure à oublier

Touchée au pied la saison dernière, la diagonale américaine n’avait pas joué depuis avril 2024. Elle a retrouvé les joies de la compétition le 12 janvier contre NLZ Academy. « Ça a été difficile. Je me sens reconnaissante d’avoir du soutien à la maison aux États-Unis. Tout le monde a été incroyable, maintenant je savoure toutes les minutes de jeu que j’ai », confie Maia Dvoracek. Elle pourrait avoir un rôle important dimanche (18h) lors du choc au sommet entre le NUC et Kanti Schaffhouse. Une rencontre à suivre dès 17h45 sur RTN. /dpi


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