Des forces nouvelles se mobilisent autour de Neuchâtel Xamax. Outre Walter Gagg et d’anciens dirigeants, un second groupe de travail s’est formé pour reprendre les destinées du club et plus particulièrement pour sauver son mouvement junior.
Ce groupe est formé principalement de petits actionnaires, de parents de juniors et aussi d’un juriste bien impliqué dans le milieu, Skander Agrebi.
Des personnalités qui planchent déjà depuis la dernière assemblée générale extraordinaire du club, en novembre, sur un projet de formation viable. L’objectif est de séparer juridiquement les intérêts de la première équipe du mouvement juniors, en créant une fondation financièrement indépendante. /mne
