Les Boulangeries Stehlin dans le collimateur d’Unia. Le syndicat leur décerne la Palme d’or du mauvais employeur neuchâtelois de l’année. Il dénonce des salaires de 2700 à 3300 francs, sans 13e mois, pour le personnel de laboratoire.
Le couple Stehlin, qui a repris en mars 2013 quatre boulangeries en difficultés dans le canton, nie être responsable de la situation. Il met en cause la société avec qui il a traité pour reprendre la gestion de ces commerces. /fpa