C’est lundi que l’Hôpital neuchâtelois communiquera sur une éventuelle non-reconduction de contrat avec Blanchâtel. D’ici-là, la direction ne souhaite plus faire de commentaire.
De son côté, l’exécutif de La Chaux-de-Fonds ne laisse pas tomber Blanchâtel.
Le conseiller communal Pierre-André Monnard indique qu’il va revenir à la charge une énième fois auprès des instances de l’HNe pour tenter de sauver l’entreprise de traitement du linge. Les arguments sont toujours les mêmes: il y a une question de personnel et une question de locaux.
Les bâtiments de Blanchâtel sont en effet en mains privées, mais pas le terrain sur lesquels ils sont implantés (ils appartiennent à la Ville)… Ce qui pose un problème de droit de superficie.
L’entreprise emploie actuellement 52 personnes dont une trentaine non qualifiée. Imaginez les retombées à l’aide sociale si l’entreprise ferme ! , nous dit-on à l’interne. Ici, la majorité des gens sont de la région. Seules 10 personnes viennent de France.
L'Anempa, qui réunit la majorité des homes du canton, poursuit sa collaboraton avec le groupe Bardush dont un site se trouve à Yverdon, comme l'indique le site Arcinfo. /abo