Depuis 2012, les jeunes manifestent un intérêt accru pour le métier de micromécanicien.
La révision du CFC de micromécanicien éveille l’intérêt de la jeunesse. Un nouveau plan d’étude est entré en vigueur en début d’année. Il propose aux apprentis de choisir entre quatre spécialisations. Deux savoir-faire industriel spécifiques à l’horlogerie sont notamment mis en valeur: le décolletage et l’étampage. La révision semble porter ses fruits. La Convention patronale de l’industrie horlogère suisse constate un regain d’intérêt. A la rentrée d’août dernier, plus de 80 apprentis se sont inscrits dans cette filière, alors qu’ils étaient moins de septante en 2011. Des chiffres réjouissants, puisque l’horlogerie a besoin de main d’œuvre. /kro
