Les tiques infectées par la bactérie responsable de la maladie de Lyme se montrent plus résistantes à la sécheresse. C’est l’une des conclusions à laquelle arrive Coralie Herrmann, de l’Université de Neuchâtel, dans sa thèse de doctorat.
Il apparaît aussi que les tiques infectées font mieux face aux conditions hivernales et qu’elles possèdent davantage de graisse que leur congénères saines, ce qui leur offre plus de réserves. /comm-sbe