Ding, ding, dong!

Des campanophiles parcourent la Suisse et d’autres pays pour satisfaire leur curiosité. Dominique ...
Ding, ding, dong!

Une des deux cloches de Boveresse. Une des deux cloches de Boveresse.

L’art campanaire n’est pas mort ! Des passionnés de cloches, ou campanophiles, existent encore. Dominique Fatton, de Buttes, en fait partie. Grâce à Internet, il a rencontré Claude-Michäel Mevs, de Fribourg. Devenus amis, ils partent désormais ensemble à la rencontre des cloches de Suisse et d’autres pays. Leur dernier périple, cet automne, les a conduits en Bretagne.

Dominique et Claude-Michäel connaissent bien les cloches neuchâteloises et leurs différentes tonalités. Dans le Val-de-Travers par exemple, toutes les cloches sont électriques, sauf dans le clocher de Boveresse où elles sont tirées à la corde. La sonnerie la plus grande du canton de Neuchâtel est celle du temple du Locle, une sonnerie de cinq cloches avec un bourdon qui pèse dans les 3'300 kilos. /msa


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