"Fin du monde": un peu d'angoisse, beaucoup de flegme et d'humour
Si certains Terriens sont bel et bien persuadés que ce vendredi verra la destruction de notre planète, une prophétie alimentée par la fin d'une ère du calendrier maya, d'autres affrontent ce "dernier jour" avec flegme et humour.En Australie, un des premiers pays à avoir vu le soleil se lever ce 21 décembre, la page Facebook du Bureau de tourisme a été bombardée de messages demandant si l'île comptait encore des survivants. "Oui, nous sommes vivants!", a répondu l'organisation, saluant le "coup de pouce" des Mayas "pour nous aider à franchir la barre des quatre millions de fans pour notre page Facebook". /SERVICE