Dans le cadre du processus de restructuration initié fin 2024, la fondation du laboratoire d’analyses médicales a décidé de mettre en œuvre un processus de licenciement collectif. D’autres mesures d’économies ont également été prises.
La Fondation Admed poursuit le processus de restructuration initié fin 2024 à la suite du départ de son ancien directeur Julien Spacio. Selon le communiqué paru jeudi, le laboratoire d’analyses médicales explique que les premières mesures ne s’avèrent pas suffisantes pour assurer la pérennité des activités. Dans ce contexte, la direction a décidé de mettre en œuvre un processus de licenciement collectif pouvant toucher une vingtaine de personnes.
Conformément à la règlementation en vigueur, cela ouvre un délai de consultation de 14 jours avec la commission du personnel. Admed déclare que cette décision devrait permettre de s’approcher de l'équilibre financier en 2025 et de retrouver la profitabilité dès l’exercice 2026.
La Fondation ajoute que d'autres mesures ont été mises en œuvre au terme d’une réflexion avec les cadres du laboratoire ces derniers mois. Ces réorganisations n’ont aucun impact sur la continuité des prestations fournies aux patients neuchâtelois, précise encore le communiqué. /comm-yca