Le festival de musiques du monde s’est achevé samedi soir en apothéose. Après dix jours de concerts et spectacles à Neuchâtel, les organisateurs tirent un bilan positif, même si le résultat financier pourrait être moins bon cette année.
En raison de la météo, le Buskers ne s'est pas rendu ce dimanche à La Ramée, comme ici lors de l'une des dernières éditions (photo : archives).
Ils ont le sourire, que ce soient les organisateurs, les artistes ou les spectateurs. Le Buskers s’est achevé samedi soir en ville de Neuchâtel. Les organisateurs avaient décidé jeudi de ne pas terminer les festivités ce dimanche à la plage de La Ramée à Marin en raison des averses annoncées.
La 33e édition du festival des musiques du monde avait démarré le 9 août à Corcelles avant de gagner Peseux, Valangin et le centre-ville de Neuchâtel. Vingt groupes issus des 5 continents y ont pris part, acclamés par plusieurs milliers de personnes, même si on ne connaît pas le nombre exact de spectateurs.
Si le bilan artistique est très positif, le résultat financier pourrait être « moins bon que d’autres années », explique l’une des chevilles ouvrières de la manifestation, Sandrine Troyon. Celle qui préside l’association du Buskers explique qu’il a fait « très chaud mardi, qu’il y a eu une averse mercredi et un peu moins de monde le samedi, mais ça c’est presque un classique ».
Sandrine Troyon, présidente de l'association du Buskers :
La prochaine édition devrait a priori à nouveau voir se mettre sur pied un pré-Buskers dans les localités de la Ville, mais aucune décision formelle n’a encore été prise à ce sujet par les organisateurs. /aju
