Après un prologue ce weekend, le Buskers Festival s’ouvre ce mardi à Neuchâtel. L’occasion d’applaudir des artistes venus du monde entier, qui apprécient de se confronter au public dans la rue.
Neuchâtel se transforme en grand carrefour des musiques du monde à partir de ce mardi. L’édition 2024 du Buskers Festival s’ouvre dans les rues de la capitale cantonale. Auparavant, un prélude s’était tenu à Peseux, Corcelles et Valangin. Le festival se tient jusqu’à samedi, avant le traditionnel final dimanche à la Ramée à Marin.
Le Buskers, cette année, c’est une vingtaine d’artistes, de groupes et de compagnies de musique et de spectacle de rue. Parmi eux, nous avons rencontré les Misstrash, la fanfare Oleïtan et Kapela avant le début du festival. Ils nous racontent que selon eux, jouer dans la rue, c’est différent de se produire sur une scène parce que le public n’est pas acquis d’avance : il doit être approché, puis séduit.
« C’est tout sauf élitiste, la rue. »
Des extraits d’interviews accompagnés par la musique du groupe Kapela.
Le Buskers, c’est un rendez-vous singulier où des formations très diverses vont s’écouter, se regarder, et même jouer ensemble. Et ce mélange plaît beaucoup aux membres des trois groupes interrogés, qui y voient une des raisons pour lesquels ils sont devenus musiciens.