Val-de-Ruz : les enjeux des élections communales

La population neuchâteloise choisira ses autorités communales le dimanche 21 avril. RTN vous ...
Val-de-Ruz : les enjeux des élections communales

La population neuchâteloise choisira ses autorités communales le dimanche 21 avril. RTN vous propose un tour d’horizon des enjeux dans toutes les communes

84 candidats répartis dans six listes convoitent les 41 sièges du Conseil général de Val-de-Ruz. 84 candidats répartis dans six listes convoitent les 41 sièges du Conseil général de Val-de-Ruz.

Les citoyens du canton de Neuchâtel éliront leurs représentants communaux le 21 avril. En vue du scrutin, RTN vous propose de découvrir les enjeux de toutes les communes. Nous nous intéressons ce mardi à Val-de-Ruz où 84 candidats visent un siège au législatif.

Les enjeux à Val-de-Ruz

Posons les chiffres : 84 candidats répartis dans six listes convoitent les 41 sièges du Conseil général de Val-de-Ruz. Le format de cette campagne est identique au précédent, puisque les six mêmes partis se représentent et ceci dans une proportion similaire aux élections de 2020. Sans surprise, on retrouve donc Le PLR, Le Parti socialiste, les Verts, l’UDC, les Vert'libéraux et Le Centre.

L’enjeu principal de ces Communales a trait à l’équilibre entre la gauche et la droite. Cette dernière dispose actuellement de 21 sièges, soit d’une majorité d’une voix, très fragile. Le législatif de Val-de-Ruz penchera-t-il à gauche, ou à l’inverse l’écart entre ces deux pôles se creusera ? Le verdict sortira des urnes le 21 avril.

Au niveau de la répartition, le PLR est par tradition majoritaire à Val-de-Ruz. Il a seize fauteuils à défendre, contre neuf pour les Verts, ainsi que pour le Parti socialiste.


Qui vise quel siège ?

Contrairement aux grandes villes comme La Chaux-de-Fonds et Neuchâtel, ce n’est pas le peuple, mais le législatif qui élira ses conseillers communaux, le lundi 27 mai prochain. Les cinq places de l’exécutif se répartiront, à la suite du départ de son grand argentier, Yvan Ryser, qui ne briguera que deux mandats, via les sortants Jean-Claude Brechbühler et Daniel Geiser. L’UDC Johan Matthey-de-l’Endroit ne cache pas son intérêt pour le fauteuil laissé vacant par la droite.

C’est le sortant Roby Tschopp qui défendra le siège des Verts. Le Parti socialiste n’a avancé aucun nom pour remplacer François Cuche, pilier de la politique communale, qui se retire. En réalité, le PS ne bouderait pas d’obtenir deux places à l’exécutif, privilégiant une candidature féminine. Tout comme les Verts, qui affichent la couleur. Clarence Chollet a indiqué qu’elle se tenait à disposition de son parti. /mne


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