Le navire de la formation professionnelle neuchâteloise prend l’eau, estime le POP. Il a préparé une série de projets de loi pour corriger le tir ou au moins questionner sur cette centralisation
Julien Gressot et le POP veulent redresser la barre du CPNE. (Photo : archives)
Il faut rééquilibrer le gros navire CPNE avant qu’il ne soit trop tard. C’est la conviction du POP. Il va déposer au Grand Conseil une série de projets de loi.
Le Centre de formation professionnelle neuchâtelois regroupe le CIFOM, le CPLN, le CPMB et une partie du Lycée Jean-Piaget.
Depuis sa mise en place du CPNE à la rentrée 2022-2023, le POP a relevé de différents problèmes : menace de boycott du TPR, changement de nom de l’École d’arts appliqués, manque de proximité entre les collaborateurs et les directions et entre certains élèves et leur lieu de formation, la disparition de la vie de pôle, de certaines commissions, etc. Julien Gressot, président du POP et député au Grand Conseil neuchâtelois :
Avec ses projets de loi, le POP veut essayer de corriger le tir ou au moins questionner sur cette centralisation. /cwi
