Ce changement peut étonner vu le contexte sanitaire : les salons de massages érotiques du canton ont rouvert leurs portes lundi. Cette modification ne découle pas directement d’une décision des autorités cantonales. C’est une conséquence de la reprise en main de la crise du Covid par la Confédération. Neuchâtel voyait cette activité comme un loisir. Berne la considère comme un service à la personne, dans la même catégorie que les coiffeurs.
La prostitution est soumise à des restrictions, notamment au niveau des horaires. Les salons ne peuvent pas ouvrir la nuit ou le dimanche.
Ces limitations affectent un secteur qui avait déjà dû stopper complètement son activité depuis le mois d’octobre. /pha