Stabilité à la rentrée

Les lycées neuchâtelois ont enregistré des effectifs stables quant au nombre d’élèves inscrits ...
Stabilité à la rentrée

Les lycées neuchâtelois ont enregistré des effectifs stables quant au nombre d’élèves inscrits pour suivre une formation générale tous degrés confondus. Au total, ils seront 2'348 étudiants à retourner sur les bancs dès lundi, contre 2'337 en 2018

Les effectifs des lycéens neuchâtelois sont stables. (Photo : archives) Les effectifs des lycéens neuchâtelois sont stables. (Photo : archives)

Une rentrée scolaire placée sous le signe de la stabilité. 2'348 élèves reprendront le chemin des différents lycées du Canton de Neuchâtel lundi matin, dont 888 y entameront leur 1ère année. Selon la Chancellerie d’État, ce nombre se révèle stable par rapport à la rentrée de 2018 où ils étaient 2’337.

Le nombre d’étudiants débutant une formation menant à la maturité gymnasiale est en légère hausse, avec 36 inscriptions supplémentaires pour un total de 761. La voie menant à l’obtention du certificat de culture générale et de maturité spécialisée compte 2 personnes de plus, plafonnant à 127 élèves.

Le Lycée Denis-de-Rougemont à Neuchâtel est le seul de la Ville à enregistrer une hausse de ses effectifs de 1ère année avec 334 inscrits, contre 286 en 2018. Les options spécifiques (OS) scientifiques y sont les plus populaires et représentent plus de 70% de ses effectifs. Les autres OS connaissent une fréquentation stable.

Le Lycée Blaise-Cendars, au contraire, subit une légère diminution des élèves inscrits en 1ère année, à savoir 223 contre 231 en 2018. La filière bilingue français-allemand enregistre un record d’inscriptions avec 16 élèves contre 12 l’année passée.

Les effectifs de 1ère année du Lycée Jean-Piaget sont stables dans les deux filières, avec 204 inscriptions au total contre 208 en 2018.

À noter que c’est la première fois cette année dans le Canton que les élèves titulaires d’une maturité professionnelle ou spécialisée peuvent suivre la « Passerelle Dubs » qui leur permet d’être admis dans les hautes écoles universitaires. Jusque-là, les élèves devaient se rendre au Gymnase français de Bienne. /comm-mts


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