Une gare, symbole de la résistance. L’opéra La Citadelle de verre est joué samedi soir et dimanche au Temple du Bas à Neuchâtel. Il est le fruit d’une collaboration entre le compositeur neuchâtelois Louis Crelier, Pierre Christin et Enki Bilal
Le Temple du Bas à Neuchâtel se transforme en Citadelle de verre. Cet opéra est né de la collaboration entre le compositeur neuchâtelois Louis Crelier, l’écrivain et scénariste français de bande dessinée Pierre Christin et le bédéiste Enki Bilal. Le premier a signé la musique, le deuxième le texte et le troisième les décors et les costumes.
L’histoire plonge le spectateur dans une gare vétuste, située dans un pays et un temps imaginaire. La gare est le centre de résistance d’une nation à feu et à sang où s’affrontent armée régulière et milices armées. Il s’agit du premier opéra mis en musique par Louis Crelier. Par l’entremise d’Enki Bilal, il a été mis en contact avec Pierre Christin.