La file de lecteurs en quête d’une dédicace s’allongeait jusque dans la rue samedi après-midi à La Chaux-de-Fonds. Joël Dicker était à la librairie Payot pour apposer sa signature sur de nombreux exemplaires de son dernier ouvrage La Disparition de Stéphanie Mailer. L’écrivain genevois au succès retentissant a également fait un passage à Neuchâtel le matin et avait rendez-vous au Locle en début de soirée.
Le nouveau roman de Joël Dicker évoque une enquête sur un quadruple meurtre survenu aux États-Unis, rouverte 20 ans après les faits en raison de nouveaux éléments.
Le récit est à l’image d’un puzzle composé de multiples pièces avec des chapitres qui alternent les points de vue entre les différents personnages et d’incessants allers-retours entre le présent et le passé. Les événements s’enchaînent à toute allure et le lecteur ne peut qu’aller au bout de l’intrigue avant de lâcher le livre. Ce rythme effréné est-il la recette de l’auteur pour créer le suspense ? La réponse de Joël Dicker :
Le nouveau roman de Joël Dicker s’ouvre sur un hommage rendu à son éditeur, Bernard de Fallois, décédé en janvier. L’écrivain voit en lui une figure qui lui a « appris à rêver et à se faire confiance ».
Joël Dicker a aussi été séduit par l’enthousiasme du réalisateur français Jean-Jacques Annaud qui est aujourd’hui en train d’adapter le deuxième roman du Genevois, La Vérité sur l’affaire Harry Québert, en une série télévisée. La sortie est prévue en septembre. /sbe