La réorganisation qui touche l’OCOSP est une surprise. La RTS annonçait lundi soir que quatre postes au sein de l’office allaient être supprimés sans en informer les syndicats. Ce sont quatre cheffes de secteur qui seraient visées par cette restructuration décidée par Monika Maire-Hefti, conseillère d’Etat neuchâteloise en charge de l’Education.
Si l’Etat justifie cette décision par sa volonté de réduire la structure hiérarchique de l’OCOSP afin de la rendre plus conforme à ce qui se fait dans d’autres offices, les syndicats regrettent de ne pas avoir été consultés en amont, comme le prévoit la convention « Processus de consultation-négociation ».
Le Conseil d’Etat rencontrera les syndicats lundi prochain pour s’expliquer sur sa décision.
Claude Grimm, secrétaire régionale auprès du syndicat des services publics :
/dsa