Le président du FC Coffrane « soulagé » du maintien en 1re Ligue

Antonio Montemagno revient sur une saison « difficile » pour le club vaudruzien qui a dû attendre ...
Le président du FC Coffrane « soulagé » du maintien en 1re Ligue

Antonio Montemagno revient sur une saison « difficile » pour le club vaudruzien qui a dû attendre la dernière journée pour se sauver et évoque le défi du prochain mercato.

Antonio Montemagno, le président du FC Coffrane. Antonio Montemagno, le président du FC Coffrane.

Le FC Coffrane a fini du bon côté de la barre. Auteurs d’un match nul 2-2 sur la pelouse d’Yverdon Sport II samedi lors de la dernière journée du championnat de 1re Ligue, les joueurs d’Abdelaziz Kebbal et Cédric De Souza ont donc réussi à se maintenir dans cette catégorie de jeu, tout comme le FC La Chaux-de-Fonds.

En terres vaudoises, la partie a été « intense », « mais j’étais sûr qu'on allait se sauver », confie le président du FC Coffrane, Antonio Montemagno. Le club vaudruzien aurait-il pu s’éviter une fin de saison crispante en changeant plus rapidement de staff ? « C’est difficile à dire. Philippe Perret et Robert Lüthi ont fait du bon travail. Nous avons de bons joueurs, mais parfois je ne sais pas ce qui leur passe par la tête », lâche le dirigeant. Le duo de renom a ensuite été remplacé par Brian Weber, puis par Abdelaziz Kebbal et Cédric De Souza, sans pour autant permettre à l’équipe de s’éviter des frayeurs jusqu’au bout.

La suite ? « Nous sommes un club villageois, nos moyens sont limités. Faire venir des joueurs de la région, ce sera ma tâche principale », déclare Antonio Montemagno, qui ne sait pas encore ce qu’il adviendra de l’effectif et du staff actuels. 

Antonio Montemagno : « On ne peut pas se permettre d'avoir une certaine catégorie de joueurs. »

Le FC Coffrane a connu deux derniers exercices pénibles en 1re Ligue. « Oui, c’est usant », confie le boss, « mais tant qu’on pourra rester, on restera ».

« Je suis très soulagé. »

Avec, pour la saison prochaine, la perspective renouvelée des derbies contre le FC La Chaux-de-Fonds : « La différence, c’est que c’est une ville de 40'000 (sic !) habitants contre un village de 600 habitants », glisse Antonio Montemagno. /vco


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