Survie compromise pour les bêtes sauvages dérangées par l'homme
L'hiver a été long et rude pour la faune. Les premières chutes de neige sont tombées avant novembre déjà et il en reste encore une bonne quantité en montagne. Les bêtes ont eu de la peine à trouver pitance et vivent des derniers restes de nourriture. Les déranger pourrait entraîner leur mort.Les principaux perturbateurs sont les amateurs de raquettes, les skieurs de tout poil et les chercheurs de cornes. Ces derniers parcourent forêts et pâturages pour dénicher des bois de cerfs ou suivent les coulées d'avalanche en espérant retrouver des chamois emportés et leurs cornes. /SERVICE