Les drogues de synthèse sont quasiment absentes à Neuchâtel et en Suisse. Ces substances sont en revanche en plein essor en Europe.
L’une des explications se trouve dans les législations. Chez nos voisins, le produit n’est pas interdit s’il n’est pas nommément désigné. En Suisse, la substance mais aussi ses dérivés sont illégaux. De ce fait, il n’y a aucun intérêt à les mettre sur le marché comme alternative à une substance prohibée.
Olivier Guéniat, chef de la police judiciaire neuchâteloise :
Avec l’évolution de la technologie, le moyen de se procurer des substances illégales se développent également:
Propos recueillis par Sarah Massy.