Pas de sièges de cinéma pour les jeunes spectateurs géorgiens, mais une grande joie en découvrant les films de la Lanterne magique.
Ouvrir un club de cinéma dans des villes qui ne possèdent pas de salles obscures : c’est le défi que s’est lancé la Lanterne magique. Un défi réalisé en Géorgie, un pays situé dans le Caucase. Les villes de Zugdigi et de Rustavi ont lancé leur première saison fin 2013.
Le projet a rapidement rencontré du succès. A Rustavi, par exemple, le nombre d’inscrits a plus que doublé depuis, passant de 80 à près de 200 membres.
Le programme des films est le même que celui de Neuchâtel où la Lanterne magique a été fondée il y a 24 ans. Mais puisqu’il n’existe pas de sous-titres géorgiens, les films sont traduits en direct par un lecteur. A Rustavi, il s’agit d’Irakli Chxikvadze, un acteur et membre de la direction de la Lanterne magique géorgienne :
Un reportage réalisé en Géorgie par Anthea Estoppey.
