"Mieux vaut le calme de la campagne au stress de la ville..."
C’est un vieux cliché, un cliché auquel Ola Söderström, professeur de Géographie sociale et culturelle à l’université de Neuchâtel, fait un clin d’œil. Fait avéré : on trouve plus de cas de psychose dans les milieux urbains que dans les milieux ruraux. Fait intéressant : on a constaté ce phénomène seulement dans les villes du Nord pour l’instant, même si on ne s’explique pas encore bien pourquoi. Les résultats d’une telle recherche permettraient de mieux penser et concevoir le cadre de vie des personnes atteintes de problèmes psychiatriques. Les villes rendent-elles fou ? Ola Söderström revient sur la genèse de cette question
Conférence "les villes rendent-elles fou ?" mardi 4 mars à 14h15 à l'aula des Jeunes-Rives à l'université de Neuchâtel (inscription Université du 3e âge)